Vous faites de votre mieux pour protéger vos enfants de nombreux dangers, mais ils sont tous les jours exposés à d’innombrables menaces en ligne. Des prédateurs, du contenu dérangeant, des tentatives de vol d’identité et d’autres phénomènes que vous n’aimeriez pas qu’ils aient à vivre dans la vie réelle les attendent.
De façon choquante, 1 adolescent américain sur 5 dit avoir été approché à des fins sexuelles en ligne par des inconnus ; seuls 25 pour cent en ont parlé à leurs parents.
En tant que parent, cette statistique est terrifiante.
Les jeunes ont accès à un nombre presque infini de contenus, grâce à des sites Internet comme Reddit et YouTube. Pire, avec Internet, l’explosion des smartphones et la culture des réseaux sociaux, nous pouvons accéder à ces choses depuis n’importe où. Quel que soit ce que vous en pensez ou ce que vous en connaissez, des plateformes comme YouTube changent la façon dont nos enfants grandissent.
Même si cela n’est pas toujours une mauvaise chose, les enfants ont accès à de nouvelles sources d’informations, certaines sont bonnes d’autres non. Trouver des informations utiles sur YouTube est facile, tout comme tomber sur du contenu nuisible ou malveillant.
Comment pouvez-vous contrôler ce que vos enfants regardent sur YouTube ?
La réponse à cette question n’est pas simple. Heureusement, il existe des options pour les parents afin de contrôler l’accès à YouTube et à Internet.
La première priorité des parents devrait être d’apprendre à leurs enfants à se protéger en ligne et à utiliser les réseaux sociaux de manière sûre. En tant que parent, vous ne pouvez pas surveiller en permanence ce que fait votre enfant et les adolescents peuvent souhaiter (et avoir besoin de) disposer d’un peu de vie privée. Concentrez-vous donc sur le fait d’être proactif en matière de sécurité, en apprenant à vos enfants à se protéger en ligne.
Ce que font les enfants en ligne
En 2015, le Pew Research Center a découvert que 92 % des adolescents allaient en ligne quotidiennement et que 75 % d’entre eux possédaient un smartphone. Une étude australienne a également rapporté que 95 % des 8-11 ans avaient eu accès à Internet le mois dernier.
Les sites Internet les plus couramment utilisés par cette tranche d’âge étaient YouTube, Facebook et des jeux en ligne comme Roblox. En fait, les courriels et les SMS ont connu un recul face aux réseaux sociaux pour de nombreux jeunes utilisateurs. Des plateformes comme Instagram, YouTube, Snapchat et d’autres, fournissent un contenu presque illimité.
La menace des inconnus en ligne
Des sites comme Instagram et Twitter vous permettent non seulement de rester en contact avec des proches et des membres de la famille, mais également de communiquer avec de parfaits inconnus. Presque la moitié des utilisateurs de Facebook accepte les demandes d’amis émises par des personnes qu’ils n’ont jamais rencontrées, et la majorité des utilisateurs connaissent des histoires de demandes d’amis ou de chat qui ont mal tourné. Mais saviez-vous que YouTube permet la publication de commentaires sur la majorité des vidéos et que ces commentaires peuvent contenir des liens publiés par des adultes-prédateurs qui se cachent derrière de faux-profils ?
Contrôle parental
De nombreux appareils, applications et navigateurs web modernes proposent un contrôle parental restreignant l’accès à certains contenus aux enfants, mais saviez-vous que plusieurs logiciels antivirus incluent déjà un contrôle parental ? Il s’agit de deux couches de protection avec une installation. Parmi les solutions populaires on compte :
- Bitdefender – la version premium offre de nombreuses fonctionnalités, mais certaines d’entre elles sont intrusives. Ces fonctionnalités comprennent un filtre de webcam, des rapports d’activité, un historique et des alertes, un suivi des réseaux sociaux et des téléphones mobiles, une surveillance et un blocage des IP, un contrôle des SMS et des appels, un blocage des sites Internet et des applications, ainsi qu’un suivi de la localisation.
- Norton – cet acteur bien connu du secteur propose un contrôle des horaires, web, des recherches, des réseaux sociaux et de la localisation, une protection des informations personnelles et des demandes d’accès, et supporte jusqu’à 10 appareils.
- Avast – l’outil de blocage des sites Internet est moins intrusif que les autres solutions mentionnées. Les parents peuvent bloquer des sites Internet et des mots-clefs spécifiques.
Une recherche rapide vous montrera quel antivirus inclut un contrôle parental, mais selon notre expérience le meilleur moyen d’encourager une navigation sûre sur Internet est l’éducation et le dialogue.
De nombreuses plateformes, comme Netflix, ont un contrôle parental intégré qui restreint l’accès au contenu à l’aide d’un code. Les comptes utilisateurs Netflix destinés aux enfants peuvent bloquer les programmes réservés aux adultes. L’iPhone dispose également d’un contrôle parental dans son menu de réglages.
Certains enfants technophiles peuvent contourner cet outil en installant certains logiciels. Empêchez-les de le faire en leur donnant accès à des comptes utilisateurs non-administrateur sur votre système d’exploitation. En général, seuls certains comptes sont autorisés à installer de nouveaux logiciels.
Enfin, transmettre à vos enfants des pratiques intelligentes de navigation contribuera grandement à leur sécurité. Vous devriez leur apprendre à :
- Ne jamais partager d’informations personnelles en ligne, comme un numéro de téléphone, une adresse électronique, une adresse postale ou des photos personnelles.
- Réfléchir avant de poster. Votre nom est lié à tout ce que vous dites en ligne, ne postez donc rien que vous ne voudriez pas qu’un professeur, un ami, un proche ou un employeur potentiel voie.
- Comprendre que leurs actions en ligne peuvent avoir des conséquences réelles.
- Prenez le temps de parcourir les paramètres de confidentialité de Facebook et d’autres plateformes en ligne.
- Ne pas partager de mots de passe.
- Ne pas rencontrer quelqu’un avec lequel ils se sont liés d’amitié en ligne sans autorisation parentale.
Ce ne sont là que des orientations générales. Cela vaut le coup d’étudier les services et les plateformes que vos enfants utilisent le plus pour voir si des options de contrôle parental personnalisées sont proposées.
Facebook est l’une des plateformes de réseaux sociaux les plus populaires, mais les jeunes s’en détournent de plus en plus. Si votre enfant utilise Facebook, ces sans doute parce qu’avoir un profil sur la plateforme joue un grand rôle dans sa capacité à s’intégrer auprès de ses camarades. Les dangers en ligne traditionnels sont présents, mais ce que votre enfant public peut affecter sa vie sur le long terme. Les administrateurs d’université et les recruteurs ont rapporté que le contenu sur Facebook et d’autres canaux pouvait compromettre les chances d’un postulant.
Qu’est-ce que cela a à voir avec le streaming de vidéos ? Facebook a lancé une fonctionnalité de streaming baptisée Facebook Live. Il s’agit de vidéos en direct diffusées à la liste d’amis de l’utilisateur, mais l’enregistrement peut être partagé. Cela signifie qu’une séquence brute, non montée de tout ce que l’utilisateur a décidé de diffuser peut être partagée à des utilisateurs déconnectés. Malheureusement, Facebook a essuyé de nombreuses critiques pour certaines de ces vidéos, en particulier celles d’un viol collectif et du meurtre de Philando Castile.
YouTube
YouTube a modernisé l’accès au contenu numérique et sa plateforme de partage de vidéos est utilisée par des personnes de tout âge. De nombreux parents utilisent YouTube pour divertir ou éduquer leurs enfants et même si cela peut parfois fonctionner, beaucoup de contenus préoccupants se font passer pour adaptés aux enfants sur cette plateforme.
Tout est sur YouTube : des programmes pour enfants, des critiques de jouets, des séquences de jeu vidéo commentées (appelées « Let’s Play »), et bien plus. Sur YouTube, les créateurs sont plus que désireux de fournir du contenu qui plait aux jeunes enfants. Le compte YouTube officiel Peppa Pig, par exemple, diffuse gratuitement des épisodes de la série.
Mais vous ne pouvez vous attendre à ce que tout soit adapté aux enfants. On peut trouver beaucoup de contenus malveillants et osés sur YouTube. Même si les utilisateurs ont la possibilité de « signaler » des vidéos indésirables et que YouTube propose un mode restreint destiné aux enfants, ces solutions ne sont pas parfaites. La seule façon de garantir une expérience en ligne sécurisée à vos jeunes enfants est de savoir ce qu’ils regardent.
- Laissez-les regarder sans écouteurs ou casque, afin d’entendre la vidéo.
- Vérifiez régulièrement leur historique de vidéos.
- Comprenez les tendances actuelles, en matière de contenu indésirable (nous y reviendrons).
- Encouragez-les à regarder des chaînes dont vous savez qu’elles sont adaptées aux enfants.
Le côté obscur de YouTube
Parmi les chaînes à destination des enfants, il est important de savoir comment reconnaître le contenu indésirable auquel votre enfant pourrait être exposé. Il existe d’innombrables chaînes qui semblent inoffensives, toutefois, un examen plus approfondi révélera à quel point le contenu est indésirable.
La génération Logan Paul
Logan Paul est un vidéaste populaire disposant de millions d’abonnés sur YouTube, y compris de nombreux jeunes fans. La célébrité en ligne a suscité la controverse à la fin de l’année 2017 après avoir publié une vidéo d’une promenade dans la forêt d’Aokigahara (une forêt japonaise connue pour le nombre de suicides qu’elle abrite) dans laquelle on pouvait voir un cadavre.
Il a été sévèrement critiqué pour avoir exploité le suicide d’un homme dans le cadre de ses vidéos. Logan a finalement retiré la vidéo et publié des excuses officielles, mais cela a été considéré comme « insuffisant, et trop tard » par de nombreuses personnes.
Le Elsagate
Le scandale du Elsagate est une autre polémique liée à YouTube. Récemment, des personnages iconiques appréciés des enfants, comme Spiderman, Elsa de La Reine des neiges et Peppa Pig, ont fait leur apparition des des vidéos au contenu gênant et dans des contextes non adaptés aux enfants. Ces vidéos étaient produites illégalement, sans la permission des ayants droit officiels, pourtant de nombreux enfants les regardaient quotidiennement.
Alors que certaines de ces vidéos étaient clairement des contrefaçons, d’autres étaient reposaient sur une animation de qualité, empêchant les enfants de faire aisément la différence. Dans ces vidéos, on voyait souvent les personnages :
- S’injecter mutuellement des produits à l’aide de seringues.
- Agresser, voler et casser des objets.
- Mettre enceinte un autre personnage. D’innombrables vidéos montrant Elsa et d’autres personnages Disney étaient accessibles.
Des contenus Disney et Marvel étranges tournés en direct
Il existe également des vidéos populaires dans lesquelles des acteurs se déguisent en personnages Disney pour des sketchs tournés en direct. Une fois encore, ces vidéos regorgent de contenus gênants bien loin de ce qui est adapté aux enfants.
La majorité de ces vidéos sont souvent bien classées, car leurs créateurs savent comment manipuler l’algorithme de YouTube. Lors d’une simple recherche sur Spiderman ou Elsa, ces vidéos sont souvent près du haut de la liste, car elles ont été virales.
Contenu recommandé
Le contenu recommandé est un autre problème auquel les parents doivent faire face. La capacité d’attention de nombreux enfants est toujours en cours de développement, et après quelques minutes passées à regarder une vidéo, ils peuvent cliquer sur un contenu recommandé dans la barre latérale. Soudainement, ils tombent alors dans le trou noir que représente cette fonctionnalité de YouTube.
YouTube affiche du contenu recommandé selon un ensemble de facteurs spécifiques. Si une vidéo connaît une grande popularité et a un quelconque rapport, elle sera affichée. Donc, si votre enfant clique sur des suggestions après avoir regardé un clip tiré de La Reine des neiges, des vidéos d’Elsa enceinte et de Spiderman ne tarderont pas à apparaître dans cette catégorie. En tant que parent, cela signifie que du contenu que même des adultes trouveraient glauque est proposé à votre enfant.
Comment pouvez-vous l’empêcher ? Vous ne pouvez pratiquement rien faire pour empêcher cela, hormis passer par un contrôle parental strict et un suivi en temps réel de l’activité en ligne de vos enfants.
Le contrôle parental de YouTube
Le contrôle parental existe sur YouTube. Il est loin d’être parfait et laissera tout de même passer du contenu indésirable, mais vous permet de minimiser le risque que votre enfant verra du contenu gênant. Voici ce que vous pouvez faire dans le contrôle parental de YouTube:
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- Bloquer des types et des créateurs spécifiques de contenus. Si vous savez qu’une chaîne particulière ou un genre de contenu est indésirable, vous pouvez la/le bloquer.
- N’autoriser que le contenu approuvé. Les parents peuvent également limiter ce que leurs enfants regardent en approuvant des contenus spécifiques. Les enfants ne pourront voir que lesdits contenus et rien d’autre.
- Désactiver les recherches. La fonction de recherche de YouTube peut être désactivée. C’est une excellente solution pour les parents d’enfants capables de lire et d’écrire.
- Limiter l’utilisation à YouTube Kids. C’est une solution populaire parmi les parents qui souhaitent une version de YouTube adaptée aux enfants. Même si cela ne bloque pas, cela évite un grand nombre de contenus réservés aux adultes.
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Snapchat
Snapchat est une application de messagerie pour appareils mobiles par laquelle les utilisateurs peuvent envoyer des images et des vidéos à leurs amis. L’application est populaire chez les adolescents et les jeunes adultes, et des enquêtes ont montré que 32 % des adolescents américains avaient utilisé Snapchat.
Contrairement à Facebook, vous ne pouvez pas contrôler l’activité de votre enfant sur Snapchat sans accès direct à son compte. Mais vous pouvez :
- Demander à votre enfant d’ouvrir les messages Snapchat en votre compagnie.
- Vous rendre dans les réglages de l’application et vérifier que les messages entrants ne peuvent venir que des amis, et non d’inconnus.
En 2014, Snapchat a fait la une après le piratage d’une application tierce visant à enregistrer les « snaps ». Plus de 90 000 photos osées ont été publiées sur Internet, beaucoup d’entre elles concernaient des mineur(e)s.
Souvenez-vous que les « snaps » peuvent être des images ou des vidéos, vous pouvez donc avoir les mêmes préoccupations vis-à-vis de Snapchat qu’envers Facebook Live ou YouTube.
Les jeux vidéos en ligne
Les jeux vidéos se sont de plus en plus tournés vers un modèle multijoueur, où les joueurs peuvent interagir et communiquer entre eux. Des jeux comme StarCraft, World of Warcraft, PUBG et Fortnite sont entièrement multijoueur, tandis que d’autres comme Minecraft et Call of Duty proposent des modes solo et multijoueur.
Il est important de comprendre que le système de classement PEGI pour déterminer l’âge et classer les contenus des jeux vidéos ne prend généralement pas en compte les interactions en ligne. Ainsi, alors qu’un jeu vidéo comme Fortnite peut sembler à première vue adapté aux enfants avec ses graphismes colorés et son style graphique cartoon, des joueurs adultes peuvent dire ce qu’ils veulent dans chat vocal intégré au jeu.
Les paris en ligne – Le scandale CS: GO
Les polémiques touchant le jeu vidéo peuvent être extrêmement complexes. Counter-Strike : Global Offensive (CS :GO) est un jeu de tir à la première personne multijoueur en ligne qui propose des microtransactions intégrées afin d’acheter avec de l’argent réel des objets à utiliser dans le jeu. Notamment, CS : GO vend des « skins » ou des motifs pour décorer les armes d’un joueur ou d’un personnage. Certaines skins sont connues pour coûter près de mille euros.
Il est également possible d’échanger des skins entre comptes. Cela a entraîné la création de sites Internet conçus pour permettre aux joueurs de miser la valeur de leurs skins contre celles d’autres joueurs. Des sites de ce type utilisent des vidéastes célèbres sur YouTube pour promouvoir leur service à des millions de spectateurs.
Ne vous faites pas avoir, il s’agit de site de paris en ligne.
Sur ces sites Internet, les joueurs parient et gagnent des skins de manière aléatoire et en pariant sur des parties en direct. Bien que cette pratique relève essentiellement du pari, l’échange de skins réussit à contourner la définition légale du pari, car il n’implique pas d’argent réel, mais des objets virtuels qui peuvent être vendus contre de l’argent. Toutefois, les développeurs du jeu ont été touchés par actions en justice soulevant la possibilité que des joueurs mineurs parient sur ces sites.
Il y a même eu un énorme scandale en 2016, lorsque les vidéastes populaires spécialisés dans les vidéos sur Counter Strike, TmarTn et Syndicate, connus pour créer des vidéos de leurs paris sur ce type de sites Internet, ont été surpris à placer des paris sur un site Internet leur appartenant. Dans ces vidéos, les deux vidéastes pariaient et montraient aux joueurs combien ils gagnaient. Sans toutefois ne jamais révéler à leur public qu’ils pariaient sur un site Internet qui leur appartenait. L’intégralité de leurs gains était une mise en scène, trompant leurs millions d’abonnés, dont une grande partie était mineurs, et les encourageant à parier.
Addiction aux « Loot box »
L’explosion des « Loot box » est une autre tendance similaire. Dans certains jeux, les joueurs peuvent acheter ou gagner une caisse virtuelle qui, lors de son ouverture, donne au joueur une sélection aléatoire d’objets virtuels utilisables dans le jeu. Grâce au facteur aléatoire, les « Loot box » peuvent être considérés comme du jeu d’argent déguisé.
En fait, le gouvernement belge a légiféré contre les « Loot box », en les considérant comme une forme de jeu d’argent. De grandes sociétés continuent de promouvoir les « Loot box », car elles sont très lucratives. Dans l’industrie du jeu vidéo, de grandes sociétés ont même inventé le terme de « baleines » pour les utilisateurs qui achètent un nombre excessif de « Loot box ».
Vous pouvez entendre parler de cette fonctionnalité sous différents noms. Dans le jeu vidéo Rainbow Six : Siege, par exemple, elles sont appelées « packs Alpha ». La capture d’écran ci-dessous montre une « Loot box » saisonnière d’Overwatch.
Achats intégrés au jeu
Les jeux mobiles incluent généralement des microtransactions. Ces transactions impliquent toute forme de transactions ayant lieu dans un jeu. Elles sont généralement prélevées sur la carte de crédit associée à votre compte App Store ou Google Play. PlayerUnknown’s Battlegrounds Mobile, Pokemon Go et Roblox sont quelques exemples de jeux Free-to-play qui incluent un très grand nombre de microtransactions.
Les parents doivent être au courant de ces microtransactions. Elles peuvent être addictives pour vos enfants et, dans des cas extrêmes, votre enfant peut être à l’origine d’une facture importante sur votre carte de crédit.
La conclusion
Pour la majorité des enfants et des adolescents, Internet a eu un impact positif sur leurs vies. Votre responsabilité de parent est de garantir un équilibre sain entre l’utilisation d’Internet et la vie privée et la sécurité numérique de vos enfants. Discutez longuement avec eux des réseaux sociaux et de la consommation de contenu, et soyez prêt à intervenir si un problème survient.
Faites preuve d’une écoute active, informez-les des dangers que présentent des contenus spécifiques, et veillez à ce qu’ils comprennent que leurs actions peuvent avoir des conséquences. Prenez également le temps de comprendre les sites Internet et les services que vos enfants utilisent le plus. Leur apprendre comment interagir avec les autres utilisateurs est un élément essentiel pour assurer leur réussite dans une société de plus en plus connectée.